Fatiguée, stréssée, elle ne sait pas où demander de l'aide. Il n'y a personne, les rues sont désertes... Une [[enseigne|magasin]] brille au loin. C'est là-bas qu'elle pourra trouver de l'aide!
Elle se retrouve seule, tiraillée entre l'angoisse provoqué par son geste et le sentiment grisant que prodigue la liberté. Pour une prostituée, c'est un sentiment qu'elle n'osait même pa espérer un jour. Mais ca y est, elle en a l'[[occasion|vie]]...
Il ne la voit pas traverser le magasin et s'angouffrer dans la porte de derrière, celle qui mène dans une petite [[ruelle]].
un homme est assi derrière le [[comptoir]]
Derrière la caisse, le vendeur la toise, il se demande sûrement si c'est bien à elle qu'il doit remettre le pacquet. Le vieil homme, avec qui il est en contact, lui a dit qu'une femme en chemisier, mini-jupe en jean et maquilliée comme un camion volé, ferait office de mule. Elle jeune femme qui vient de rentrer ressemble à cette description. Elle parait perdue mais c'est elle, il en est sûr. Il lui tend alors une enveloppe. Elle la saisie et sent une liasse. Elle devinne rapidement qu'il s'agit de billets. Un rapide coup d'oeil lui permet de voir que la somme est très importante. Elle fait le tapin depuis 4 ans maintenant, elle n'a jamais eu une telle somme d'argent. Grisée par la situation, elle en oublie la menace qui pèse sur elle. Elle [[sort]].
elle quitte cette vie !
Une fenêtre? Elle s'y faufile, une fois dans la rue un regard en arrière confirme ses soupçons. Ils se lancent à sa poursuite. Elle court mais elle sait qu'elle ne pourra pas leur échapper de cette manière. Arrivée sur le [[pont]] Lansclerc, la solution lui saute au yeux...
Elle doit [[sauter|vie]]! qu'elle survive ou qu'elle se noie, quoiqu'il en soit
Elle entend des pas! [[Il]] arrive... elle se sent défaillir! tétanisée, elle n'ose bouger.
Elle se laisse menotter, cette arrestation est tombée du ciel, c'est un signe, elle peut enfin [[échapper|vie]] à ses ravisseurs, enfin...
elle se récipite dans les [[toilettes]] et s'y enferme! Elle ne peut pas y rester! Il faut trouver une solution... Elle sait que les hommes vont se mettre à sa recherche à sa recherche.
Elle s'arrête sur le pas de la porte. Les hommes qui l'ont enfermé dans cette chambre sombre sont là. Le vieil homme l'a fait monter en voiture et réccupère l'enveloppe. La voiture démarre mais rapidement, une sonnerie, un gyrophare, une, deux, trois voitures de police, ils sont encerclés. Le conducteur sort alors de sous le siège avant un fusil et tire par la fenêtre en tentant de forcer la barrage. Les policiers ripostent. Elle est touchée, à l'épaule d'abord, elle se sent partir, une seconde [[balle|vie]] et l'atteint à l'oeil droit... \n\n\n\n
Enfermée dans une chambre [[sombre]], elle est terrifiée, elle est prise au [[piège]]!
Elle est jetée sur la banquette arrière où se trouve déjà un homme. Il est âgé et semble plus gentil pourtant il tient à la main droite un revolver. Le premier homme monte à l'avant et la voiture démarre. Ils foncent dans une rue sombre, vers un [[magasin]] encore ouvert malgrè l'heure tardive. Le vieil homme lui demande d'y entrer et d'attendre, le gérant de cette supérette saurait ce qu'il doit faire.
Il fait nuit, elle ne sait pas qu'elle heure il peut être... mais là n'est pas la question, il faut [[courir]]!
La porte s'ouvre violement. Un homme entre. Il l'empoigne et la traine hors de la chambre, [[hors]] de la maison.
Elle doit rester calme. Elle a [[peur]], elle ne sait pas à qui elle a à faire.
Elle s'avance vers le vendeur. Celui-ci est particulièrement mal-à-l'aise. La sonnerie de la porte d'entrée retentit, un troisième homme entre il porte une valise à la main, sans regarder autour de luientre il porte une valise à la main, sans regarder autour de lui, il s'avance vers le vendeur et la lui tend. A ce moment les deux [[clients]] du magasin révèlent leur identité et braquent leurs armes sur le messager, le vendeur et fatalement sur elle, présente au milieu de cet épisode suréaliste.
elle regarde autour d'elle, dans le magasin, le vendeur semble très agité, il y a également deux hommes. Le premier est particulièrement minable, il porte des vêtéments rapiécés, il parle tout seul en balançant sa tête en arrière, il semble dément. Le second, assez grand, en jogging noir est tout aussi inquiétant, faisant mine de chercher quelque chose, il observe le [[vendeur]]. Elle se demande où est tombée.
Une fenêtre! Ca serai l'occasion, au point où elle en est... autant tenter! Elle prend son [[courage]]à deux mains et saute sur la pelouse.
elle [[e]][[n]][[t]][[r]]e.